Collection Histoire Courte. Un Zour, Ze TÉpouzerais Et Ze Te Ferait Des Zs (1/1)
Cest par cette phrase et un baiser sur son nez que jai demandé Anabella notre petite voisine en mariage.
Cétait le jour de la fête des voisins persuadé de lui avoir fait un bébé en lembrassant sur le bout de son joli petit nez.
Nous avions 5 ans.
Au fil du temps, je réitérais ma demande avec un sérieux problème.
Elle devenait papillons aux mille couleurs, je restais papillon de nuit sans éclat et sans le sens de ce que je devenais.
Cest le moment où maman ma fait prendre des cours dorthophonie gommant mon zozotement.
Sa peau devenait rayonnante, la mienne couverte dacné que ma mère essayait désespérément de contenir avec de multiples lotions.
Pour arranger les choses, elle avait une toison rousse luxuriante et moi à 18 ans un début de calvitie.
16 ans, début de nos sorties avec les quelques amis de notre voisinage.
Cest là que jai vu le papillon se transformer et rapidement séloigner de mon rêve.
Javais limpression quelle me faisait souffrir me refusant ses lèvres alors que dautres les goûtaient chaque fois quils sapprochaient delles.
Un jour, cest vrai, cétait le jour des résultats du bac.
Elle l'a eu grâce au rattrapage et encore car elle avait tapé dans lil de lexaminateur alors que javais eu une mention très bien par mon travail.
En y repensant, idem pour notre permis, je l'ai loupé deux fois, alors que je conduis à la perfection et elle quand je lai vu dans lensemble la faisant ressembler à une pute elle la eu du premier coup.
Un coup, cest lors de la fameuse sortie du bac, quelle ma fait participer à son dépucelage.
Nous étions chez Cyril lun de nos autres voisins et elle est venue vers moi me regardant comme si elle avait déjà dit oui.
- Christian, tu vois le beau brun là-bas, cest le cousin de Cyril, je viens de discuter avec lui et il souhaite que nous montions à létage dans une chambre libre.
- Que vas-tu faire dans cette chambre ?
- Tes con Christian, je suis majeure et je veux finir la nuit ayant perdu mon pucelage.
Je sais, tu veux mépouser, mais tu peux te mettre le doigt dans lil jusquau coude.
La seule chose que je taccorde, cest dassister à ce moment de ma vie importante pour une jeune fille.
Oui, oui, mille fois oui, alors que je continue à être persuadé que cest à moi quelle dira oui.
- Bob, tas vu ce puceau, il veut voir comment tu baises les meufs.
- Si cest un mateur, je men fiche cest ton petit cul qui mintéresse.
Cest comme ça refusant de lui dire non comme jaurais dû le faire que je suis assis dans un fauteuil et quAnabella après avoir été déshabillée a commencé par lécher et avaler la bite de ce bellâtre.
Cest en levrette quelle sest fait enfiler me regardant dans les yeux.
Ce fut le premier suivi de nombreux autres quelle ramenait chez elle.
Un mur de ma chambre était mitoyen avec la sienne.
Chaque fois ses cris et ses propos orduriers emplissaient mes oreilles au point que je me suis acheté des boules misolant du monde chaque fois quelle avait décidé des soirées orgiaques.
Elle était folle du cul et ces débordements étaient de plus en plus fréquents.
En kilomètres de bites dans son vagin, anus, bouche et entre ses seins quand elle leur faisait des branlettes espagnoles grâce à ses seins magnifiques, elle devait être proche du kilométrage maximum mondial.
J'étais pugnace je savais que mon heure serait proche.
Cette heure est venue un jour où mes parents sont allés avec les siens voir Obispo au zénith de la ville voisine avec celle que je savais être mienne malgré tous ses débordements.
Un camion, un stop, un camion qui mord le stop envoyant de vie à trépas les quatre parents alors quAnabella se retrouvait dans un fauteuil roulant.
Jétais fière de la sortir de lhôpital.
Elle avait perdu lusage de la parole et de ses membres.
Les médecins avaient vu que son cerveau fonctionnait comme si elle était dans notre monde tous en étant dans le sien.
Ils ont remarqué que ses yeux étaient capables de dire oui ou non.
Ça a conditionné la suite de notre vie, de sa vie.
- Veux-tu mépouser ?
« Oui »
- Pour le meilleur ou pour le pire ?
« Oui »
- Jusquà ce que la mort nous sépare ?
« Oui »
- Moi aussi je le veux.
- Je vous déclare unis par les liens du mariage.
Javais raison, dès lâge de 5 ans.
Anabella est mienne pour le reste de notre temps.
Jai poussé son fauteuil roulant après la cérémonie jusque chez nous.
Elle a hérité de ses parents et moi des miens.
Cest chez moi que je lai installé.
- Chérie je vais te donner ton bain si tu le désir.
« Oui »
- Cest bien, excuse, il faut que je te lave la chatte.
Tu dois être propre comme un sous-neuf pour notre première nuit et nos premiers rapports !
« Oui »
- Regarde comme je tessuie bien mon cur.
« Oui »
- Je tallonge, reste éveillé, je vais aussi me laver la queue je veux te prendre avec une queue propre !
« Non »
De retour de la salle de bains, la queue fièrement dressée simplement en la regardant, je monte sur le lit en me plaçant entre ses jambes.
- Excuse de les écarter, ce sera plus facile pour te pénétrer.
Cest fait bébé, tu es à moi, je tavais bien dit quand nous étions petits.
« Un zour, ze tépouzerais et ze te ferait des zs »
- Le docteur tas dit que tu pourrais en avoir.
Jy crois tellement ze taime.
« Oui »
- Ze taime chérie.
Cest drôle mon zozotement revient lorsque je suis zému.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!